Chapitre V
Gland attendait dans le trou principal, que fait t’il là ? On l’avait retrouvé ? On l’avait soigné ? Combien de temps il était là ? Les autres dormaient ?
Soudain il entendit des pats à la sorti, il fixa l’entrée et vit apparaître Épine avec quatre noix entre les dents.
Quand elle le vit elle lâcha ses noix.
Épine : Gland ! Tu es réveillé !
Gland : Ben oui…
- Papa ! Maman ! Gland est réveillé !
À ce qu’il en voyait on aurait dit que cela faisait des jours qu’il ne s’était pas réveillé.
Flore arrivant à toute vitesse : Gland ! Que j’ai eu peur pour toi, ça fait deux jours qu’on t’a retrouvé et que tu es évanoui…
Deux jours !!?? Gland était terrorisé en sachant qu’il avait dormit deux jours !
Chêne : Oui, t’étais dans l’ coma.
Dans le coma ? Pendant deux jours ? Quelle horreur !
Épine qui avait comprit la peur de Gland : Mais ne t’inquiète plus, maintenant que tu tes réveillé…
Flore : Vient manger, après je regarderais ta blessure.
Gland tourna les yeux sur son ventre et vit des toiles d’araignée qui le bandaient. Je suis gravement blessé ?
Soudain quand il voulu se mettre debout il eu mal aux cottes.
Flore : Ne bouge pas, tu tes cassé une cotte je ne sais pas comment te la soigné.
Puis de ses dents elle cassa une noix et l’ouvrit, elle lui donna ce qui était dedans.
Gland : Merci.
- Tu as besoin de force.
Gland lentement entama sa noix sous les regards de sa famille.
~~
Après ce déjeuner Fore et Chêne était partis du chêne, Épine était resté avec lui.
Gland : Tu peux y aller.
Épine : Hein ? Où ça ?
- Voir le tilleul.
- Non… je ne peux pas y aller sans toi… je veux partager mon bonheur.
Gland méprit un soupir.
- Oui mais moi je ne le mérite pas…
- Pourquoi ?
- Je vais te raconter pourquoi j’y suis arrivé aux pierres grises…Je me suis réveiller dans la nuit car je voulait aller voir le tilleul sans toi, pas la peine de préciser que je me déplacer or des arbres mais le problème c’est que je ne connaissais pas vraiment le chemin, du cout je me suis perdu et je me suis retrouvé aux pierres grises, au début j’ai eu très peur, puis j’ai remarqué que les monstres n’allaient sur les pierres grises, alors je suis aller au bord pour observer, mais à un moment un monstre a dérapé sur moi, je me suis enfuit dans un arbre mais le monstre a fracassé l’arbre et s’est écrasé, l’arbre est tombé et je me suis retrouvé écrasé sous l’arbre, j’ai crié de toute mes forces mais rien à faire, et puis voilà que je me retrouve ici.
Épine ne disait plus un mot, il crut à un moment qu’elle allait se mettre en colère, mais rien de tout cela.
Gland : S’il te plait… vas y toute seule.
Épine : Bon, d’accord, mais quand papa et maman seront revenus.
- D’accord.
~~
Cela faisait une heure que Gland avait renvoyé Épine aller au tilleul.
Quand soudain, une odeur de fumée lui chatouilla le nez, Gland eut un frisson. Il rampa à l’entrée et vit avec horreur des bipèdes au pied de l’arbre en train de faire un feu pour y faire cuire de la chaire.
Gland avait très peur, que faire ? Il était blessé, il ne pouvait pas partir, il était coincé ici… Et si la forêt prenait feu ?
Mais Gland vit de loin Épine et ses parents, il eu un moment de ouf… mais le danger n’était pas passé !
Quand ils montèrent de l’arbre les bipèdes les montraient du doits et leurs criaient quelque mots que Gland ne comprenait pas.
Flore : Chêne surveille s’il te plait le feu, si il monte dit le nous, je prépare tous au cas d’une catastrophe.
Chêne sorti de l’arbre.
Soudain des cris de bipèdes se fit entendre.
Gland sentit la peur d’Épine et Flore, qui couraient à la sorti. Et un grand « Oh… » S’échappa en elles.
Gland : Qu’ès qu’il y a ? Comme elle ne répondait pas il continua. Y’a un problème ?
Mais elles ne répondaient, cela commençait à agacer Gland. Alors il rampa à son tour à la sorti et sorti un grand « Mm ? ». La pluie commençait à tomber et les bipèdes étaient tous affoler.
Gland : Qu’ils sont bêtes…
Épine : Tu peux l’dire, mais en moins le feu est étain et… oh… ils s’enfuient… ah ah ah…
~~
Et la soirée se fit dans les rires car vu les bipèdes, ils étaient vraiment idiots.
Cette nuit là, Épine se rapprocha de Gland pour lui parler du tilleul.
Épine : Je n’en reviens pas, ses branches ont bougée toute seule…
Gland : Pas possible, tu rêve trop… il y avait forcement un animal dessus ou le vent qui soufflait fortement…
- Puisque je te dis que si…
- Et moi je te dis que tu me le montra quand je serrais débarrasser de ça.
S’exclama Gland en pointant ses blessures.
- Ouais bas si tu ne voulais pas être blessé tu n’avais qu’à rester dormir ce soir là.
Flore se réveillant : Fini ce chahut ?
- Excuse nous… Froidement Bonne nuit Gland.
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