Chapitre III
Aux troisièmes jours de punition, Épine et Gland purent sortir du trou, aligné dans le trou principal, les parents annoncèrent
aux enfants :
Flore : Si vous nous rapportez ce matin chacun trois gland une châtaigne quatre noisettes six noix et une feuille de tilleul,
vous aurez tous les deux jours la permission de sortir tout seul, mais pas trop loin, et que là où votre père vous a montrez.
Gland : Merci beaucoup Maman !!
- Alors allez y tout de suite !
Épine et Gland filèrent dehors, Gland entendit le murmure d’Épine.
- Je sais où trouver la feuille de tilleul !
- Tu ne comptes pas prendre une feuille du tilleul sans ami ?
- Pourquoi pas ?
Gland réfléchi, c’est vrai ça, pourquoi pas ?
- Allons y toute suite chercher la feuille !
Épine avait l’air ravie.
Malgré sa peur, il avait trop envie de revoir ce tilleul.
Ils étaient arrivés à la plaine des noisetiers. Gland fixa l’arbre où ils étaient tombés de la branche qui avait seder sous
leurs poix, comme il vit qu’Épine semblait avoir oublié le chemin, il partit le premier. Il descendit dans le fossé, mais il
était si penché qu’il dégringola Épine était entrainée elle aussi dans le fossé. Jusqu’à où ils se cognèrent sur le tilleul,
Gland le trouvait encore plus grand qu’au début. Cette nuit, j’irais tout seul ! Il voulait explorer cet arbre tout seul en
moins une fois.
Épine : Et si on montait ?
Gland frissonna à l’idée de monter sur ce tilleul immense.
- Tu… tu es sure ?
- Pourquoi ? Tu as peur ?
- Non non, allons y…
Et Gland d’un bond s’accrocha à l’arbre, mais, il ne put enlever ses pattes pour ce déplacer. Gland était paniqué.
Gland : Épine ! Je ne peux plus enlever mes pattes !
- C’n’est pas normal ! Ça ne devrait pas coller autant !
Épine lui tendit une branche qu’il attrapa avec ses crocs, Épine tira de toute ses force et Gland put enfin tomber de
l’arbre. Épine, essoufflé prit parole.
Épine : Et bah dit donc, vau mieux pas y retourner, vient on va chercher les autres choses.
- Hum, et on trouvera un autre tilleul moins grand et moins collant avec des amis.
- Ne soit pas fâché Gland…
Le midi allait bientôt venir, ils avaient tous trouvé sauf la feuille de tilleul.
Épine : Et si on ne la trouvait pas ?
Gland : Arrête d’avoir peur de ça Épine… Viens par là.
Gland s’arrêta nez à nez avec un tilleul, il le trouvait minuscule ! Et surtout, il y avait beaucoup de tilleul à côté de
lui. Gland en arracha deux feuilles, une pour lui, une pour Épine.
Gland : Allons y.
Gland grimpa, celui ci en moins ne collait pas !
Il descendit rejoindre sa sœur qui était chargé de châtaignes noisette…
Ils partirent en direction de leur trou, ils avaient chacun leur provisions que leur mère leur avait réclamé.
L’air satisfait ils entrèrent dans le trou, leur parent les attendait encore.
Épine n’en pouvait plus, elle trébucha et fit tomber toutes ses provisions.
Flore : Mettez vos provisions au deuxième trou, après demain vous pourrez sortir tout seul, mais avant, laissé
Chêne compter vos provisions.
Il était très tard dans la nuit, Gland venait de se réveiller. Ça serrait une occasion pour observer le tilleul… Il sorti
des trous et se retrouva dehors tout seul dans la nuit, il frissonna un peut.
Puis, il se mit en route, il avait peur, très peur ! Et il faisait si noir qu’il ne voyait pas où il allait. Pendant un bon
bout de temps il marchait sans s’arrêter.
L’air devenait de moins en moins pure, Gland avait peur de tomber si il se déplacé sur des arbres, donc il marchait
au sol, jusqu’au moment où il entendit un bruit épouvantable, que le sol était hyper dur, tellement que cela lui
faisait mal, et surtout, l’odeur était affreuse.
Une lumière commença à l’éclairer, et c’est là, qu’il aperçut une horrible créature qui roulait, elle fonçait droit sur
lui, d’un bon il recula et la bête disparu au lointain.
Caché derrière un arbre, Gand vit qu’il y en avait plusieurs qui passait comme ça sans même l’apercevoir. Gland
comprit qu’elle ne dépassait jamais une limite, alors il allait au bord de la limite pour les observer. Mais soudain,
un monstre semblait perdre son chemin, elle tournait sans s’arrêté sur elle même, des bipède criait à l’intérieur,
Gland n’en croyait pas ses yeux, soudain elle fonça sur lui, Gland affolé grimpa à l’arbre le plus proche, mais le
montre fonça encore et s’écrasa sur l’arbre qui commença à bouger et tomba, Gland se trouva écrasé sous l’arbre.
Gland : À l’aide !!!
Mais rien n’à faire, personne ne venait, Gland croyait que sa vie allait s’achever, les bipèdes à l’intérieurs
s’emblait assommé.
Gland pensa à sa famille, son père, sa mère, et Épine, qu’allaient t’ils faires envoyant qu’il avait disparu, et surtout,
qu’allaient t’ils faires s’ils le trouvait ici, mort…
Gland était désespéré, l’odeur empirait et l’arbre était très lourd. Il crut vraiment que son heure était venus.
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