J’imagine le cri de la nature
J’imagine la souffrance qu’elle peut endurer
Tout au long de cette année
J’imagine voir pleurer les arbres pour toutes
Les saletés.
Mais leur cœur peut continuer à se battre il bat
Tellement qu’il offre son bonheur à toutes les créatures
Qui vivent
La nature crie l’homme au cœur de sable
Et là au fond de l’abyme un enfant qui pleure
Parmi tous ces crimes une rose qui se meurt
Elle a tenté de l’aider mais pour cause de différences
Elle n’a pas pu le sauver
La terre vit trop de souffrances
Dans ces champs fleuris qui firent autrefois notre
Bonheur nous avons tout détruit pour notre saleté
D’honneur.