Loisirs - Poésie
ismael patient - Mes arts
Qui suis-je?
Mes arts


MAIBOBO

Quoique nous sommes rejetés mais nous avons droits de parler
Et excuse si ça va vous déranger mais soyez honnête pour te redresse car
Je ne veux pas parler à ta personne mais à ta conscience

Toi, l’Afrique qui après plusieurs années de guerre tribale qui nous fait englouti dans les malheurs et souffrir et comme une fissure elle nous divise tous les jours

Cause la pauvrette énorme au sein de majorité de nos familles africaines, La perte de nos êtres chers ; parents frères et sœurs qui nous fait aujourd’hui traîné dans la rue

Attribuer de la sorcellerie par de personnes sans cœur sous couverture des hommes de Dieu est là nos marâtres n’ont pas pu hésiter de nous mettre sous le coup de Misère de cause qui nous injecter de nous débrouiller nous même sous le coût de notre vie dans la rue

Qui aimera ce garçon
Qui passe la journée dans la rue et la nuit sans abris
Aux chaires qu’un arbre
Séché par les vents la froideur de la nuit
Qui s’en suivent sans cesse au cours de l’année.
Qui manque les mangés
Aux abords du marché.
Qui passe sans repasse aux repas de rapace
Engloutie par le peine le lieu de la douleur
La famine nous tenaille,
Je crois passe la vie
Au fond de la fournaise,
Au milieu de l’enfer il n’y a pas la délivrance
Le mal est eternel
Mais à Dieu nous nous confions
Même au bord de l’infinie nous garderons l’espoir
Labeur sans repos fatigue sans gain travail sans merci
qui vouloir sans avoir qui cherche sans trouvé, qui cri sans secours jusqu’à quand ô Seigneur te souviendra t’il de nous
O Dieu mea culpa de mon âme avant que ma vie ne se fond
Ce sont les questions des mes plaintes j’aimerai la réponse
Et le cauchemar semble être de loin résolu car nos frères mêmes nous ont oubliés

Au fil du temps que l’âge avance et le temps passent le phénomène semble s’amplifier d’avantage de jours au jour et la souffrance s’alourdissent ainsi nous somme exposé à des dangers dont on ne sait pas quand ça mettre fin à notre vie

Mais ce n’st pas ce qui nous inquiet ce qui nous fait mal est de voir comment nous, les africains nous sommes les porteurs pour notre malheur ainsi l’avenir de l’Afrique s’annonce avec plein de difficulté et le mal personne ne l’échappera nul part car la jeunesse l’espoir de demain sont mis au marge de la classe sociale

D’Après SUMAILI LUBUMBA PATIENT
Edition : cris de misère « enfant noir »
Année : 2011/Journée international de l’enfant

LA MORT
S’il y a de chose qui m’agace trop c’est quand on me parle de la fin de ma vie , étant passionné de la vie je me trouve toujours angoissé devant la mort cette antipathie entre l'homme et sa fin est dû à l’ignorance et à la nature humaine quand j’’y pense en très fond je risque d’en découvrir la raison car la mort n’est jamais été la fin de la vie mais c’est la transfère de nos âmes dans un monde infiniment inconnu c’est le début dune vie dans sa complaisance c’est la fin à tout nos tourment charnelle

Tout ce que les hommes parlent, divaguent polémiquent ne sont que de pensées des illusions des images qu’on l’attribue mais le vrai sens de la mort résiste parmi le grand mystère de notre créateur ce lui qui le sus en cheminer directement vers le chemin d’Emmaüs aux yeux floués aux oreilles bouchée a la bouche callée enfin que ce lui ci ne dévoile pas le secret qui retient le souffle dans nos narines

Si la mort pourrait être un homme hélas on pourrait déjà le chasser au milieu des être, si elle pourra être un monstre hélas on aura déjà le faire dissiper aux milieux des être mais la mort est un principe qui existe dans nos chers fondé dès la création du monde, pour mettre fin à tout ce qui commencer

D’Après SUMAILI LUBUMBA PATIENT

Joel el fils

AME EDORMI
Tu n’est pas partie mais tu t’es transformé
Je ne te verrai plus jamais mais je sais bien que tu es là
Tu es partie mais tu nous a pas quitté
Tu te couche dans le sommeil inlassable
Sous une torpeur sans fin tu te repose
avec les héros et les rois de ce monde
En fuyant les tourments et les chagrins de ce monde
Tu t’immatérialise pour laisser ce corps accablé de misère pour revivre une vie de plaisance.

L’Ame endormi tu n’est plus là mais tu n’est pas partie
Tu es gravé au très fond de cœur de tes enfants
Tu te réincarne dans tes descendants,
Autour de descendant de tes descendants je sais bien que tu es là
Tu persiste inaperçue entre les fils de tes fils
Tu réapparais avec un air muse et câ (caractère restituel).

On se sépare mais on ne s’est jamais quitté
Tu te cache entre les bûches (bassin) de tes enfants mals
Sous le rideau de l’éternité tu te cache entre les bûches de tes enfants mal
Tu demeure immortel entre les mémoires des tes enfants
Par tes œuvres tes berceuse, ibero, (proverbe)
Mam’ tu périras jusqu’à la fin de l’humanité sur la terre

D’Après SUMAILI LUBUMBA PATIENT
Edition : cris aux partants

Dédier à ma chère Mama que Dieu béantifie son âme




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ismael patient - Mes arts (Loisirs - Poésie)    -    Auteur : Patient - Burundi


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dernière mise à jour : 2011-09-12

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