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Fils d’une famille de 10 enfants, du quartier populaire de Boy-Rabe de Bangui, Faustin-Archange Touadéra est né le 21 avril 1957, d'un père chauffeur et d'une mère cultivatrice1.
Carrière universitaire

Faustin-Archange Touadéra est titulaire de deux doctorats en mathématiques obtenus en 1986 à l'université Lille I et en 2004 à l'université de Yaoundé. En 1987, il devient professeur assistant de mathématiques à l'université de Bangui et il est vice-doyen de la faculté des sciences de l'université de 1989 à 1992. Il rejoint le Comité inter-États pour la standardisation des programmes de mathématiques dans les pays de langue française et l'océan Indien (CIEHPM) en 1999, servant en tant que président du comité de 2001 à 2003. Il est vice-chancelier en mai 2004 puis recteur de 2005 à 2008 de l'université de Bangui

Carrière politique

Faustin-Archange Touadéra est nommé Premier ministre le 22 janvier 2008 par le président François Bozizé à la suite de la démission d'Élie Doté.

Le 12 janvier 2013, il démissionne de ses fonctions3, avant d'être remplacé le 17 janvier par Nicolas Tiangaye, qui constitue un cabinet d'union nationale le 3 février suivant.

En 2014, il se réfugie sur la base de l'ONU de Bangui pendant six mois puis à Lille, en France, avec son épouse et ses trois enfants

À l'élection présidentielle de 2015-2016, il arrive deuxième du premier tour avec 19 % des voix, derrière son opposant, Anicet-Georges Dologuélé qui arrive en tête avec 23,7 %. Il est finalement élu président de la République à l'issue du deuxième tour, avec 62,7 % des suffrages contre 37,3 % à Anicet-Georges Dologuélé


IDRISS DEBY ITNO(Président de la republique du TCHAD)

Idriss Déby Itno, né en 1952 à Berdoba (au sud-est de Fada) est un homme politique tchadien. Le 2 décembre 1990, avec l'appui de la France, il chasse du pouvoir son ancien compagnon d'armes Hissène Habré après une période de lutte armée menée à partir du Soudan et le remplace le 4 décembre avec le titre de président du Conseil d'État. Il est ensuite désigné président de la République du Tchad le 28 février 1991 après l'adoption de la Charte nationale.
Musulman, fils d'un berger de l'ethnie zaghawa, il est plus précisément bilieda (habitants de la région de Bilia), un sous-groupe des Bideyat, lui-même sous-groupe de la grande ethnie des Zaghawas que l’on trouve des deux côtés de la frontière tchado-soudanaise. Elle est proche de l'ethnie toubou.

Son fils, Brahim Déby (issu de son premier mariage avec Hadja Halimé), qui avait été un temps conseiller de son père est assassiné le 2 juillet 2007 en France, à Courbevoie. Selon la police française, son assassinat n'aurait pas de motivation politique
Après avoir passé son baccalauréat, il entre à l'école d'officiers de Ndjamena puis obtient en 1976 une licence de pilote professionnel en France. De retour au Tchad, il collabore avec Hissène Habré, entré en rébellion en mars 1980 contre Goukouni Oueddei après l’éclatement du Gouvernement national de transition (GUNT) formé cinq mois plus tôt. Habré nomme alors Déby comme commandant en chef des Forces armées du nord (FAN).

Le 7 juin 1982, Habré entre dans Ndjamena avec Déby à ses côtés, poussant le président Goukouni Oueddei à s'exiler en Algérie. Promu colonel, il se rend en France où il suit les cours de l'École de guerre inter-armées. De retour au Tchad, il est nommé conseiller d'Habré pour la défense et la sécurité. En 1989, rien ne va plus entre Déby et Habré mais aussi son propre cousin, Hassan Djamous, qui l'a remplacé au poste de commandant en chef et son demi-frère Ibrahim Mahamat Itno, ministre de l'intérieur.

Accusés de complot, les trois hommes prennent la fuite le 1er avril 1989 (cette action est communément appelée l'action du premier avril). Tandis que le colonel Hassan Djamous est blessé et capturé par les hommes de Hissène Habré, et son cousin Ibrahim Mahamat Itno tué, Idriss Déby réussit à gagner la Libye, puis le Soudan où il crée en mars 1990 le mouvement rebelle du Mouvement patriotique du Salut (MPS). Le 1er décembre 1990, ses forces s'emparent de Ndjamena et chassent Habré qui se réfugie au Sénégal. Déby est alors porté à la présidence du Conseil d'État dès le 4 décembre puis désigné président de la République par le MPS, transformé en parti politique, le 28 février 1991 après l'adoption d'une charte nationale qui accorde tous les pouvoirs au président et reporte à 30 mois l'instauration du multipartisme. Lors de son investiture, il promet la tenue d'une conférence nationale ayant pour tâche principale l'élaboration d'une nouvelle constitution.

Il est élu président pour un premier mandat en 1996 puis pour un second mandat en 2001. Le 21 décembre 1999, 13 mouvements politico-militaires et partis politiques s'unissent dans le but de renverser le régime qui se centralise progressivement sur le présidentEn 2000, on estime à 25 000 morts le bilan du régime.

Le 26 mai 2004, les députés adoptent une modification constitutionnelle qui lève la limitation des mandats présidentiels auparavant fixée à deux. En avril 2006, les rebelles sont sur le point de renverser le régime mais les forces françaises présentes sur place permettent le retour précipité d'Idriss Déby qui se trouvait en visite en Guinée équatoriale pour un sommet de la CEMAC. Il est réélu pour un troisième mandat le 3 mai 2006 avec 64,67 % des suffrages exprimés,un mois après l'attaque manquée menée par le Front uni pour le changement (FUC) du capitaine Mahamat Nour (un des mouvements rebelles en lutte contre le pouvoir) sur N'Djamena le 13 avril.

En février 2008, les rebelles tchadiens du Commandement militaire unifié (CMU) qui est composé du RFC de Timan Erdimi, de l'UFDD de Mahamat Nouri et du CNT de Hassan Al Djineidi lancent une seconde offensive pour prendre N’Djamena. Début février 2008, il a donc de nouveau à faire avec des attaques rebelles sur Ndjamena qui entraînent le rapatriement des expatriés français vers le Gabon et la France. Il subit un revers à la bataille de Massaguet le 1er février et doit repousser l'assaut sur la capitale du 2 au 4 février. Trois fois plus nombreux à s’élancer du Soudan, une fois en ville, les rebelles cernent le palais présidentiel le 2 février, date du mariage de Nicolas Sarkozy avec Carla Bruni. Encerclé dans son palais, le président tchadien appelle plusieurs fois dans la journée le président français à l’aide. Celui-ci lui propose l'exil en territoire francais




DENIS SASSOU NGUESSO(Président de la republique populaire du CONGO)

Denis Sassou N'Guesso est un officier et homme d'État Congolais, né en 1943 à Edou, Président de la République du Congo de 1979 à 1992 , puis de nouveau depuis 1997 à ce jour.

Il fait l'école primaire à Edou, puis à Owando, alors appelé Fort-Rousset. De 1956 à 1960, il est élève au Collège Normal de Dolisie pour devenir instituteur.

Après l'obtention de son brevet, il passe avec succès un concours de sélection d'élèves-officiers de réserve. En 1961, il suit la préparation militaire supérieure à Bouar en Centrafrique, avant la formation de l'École Interarmes des Officiers de réserve de Cherchell en Algérie.

Il est l'un des premiers officiers du Groupement aéroporté, premier bataillon parachutiste de l'armée congolaise, créé en 1965 sous le commandement du capitaine Marien Ngouabi.

De 1968 à 1975, il commande successivement le Groupement aéroporté, l'armée de terre et la Zone militaire de Brazzaville (ZAB), puis dirige la Sécurité d'État (services de renseignement du Congo). Il devient capitaine, puis commandant.

En 1978, il devient colonel.En 1989, il devient général d'armée, après Joachim Yhombi Opango A partir du milieu des années soixante, Sassou N'Guesso est dans la mouvance des officiers progressistes conduite par Marien Ngouabi, qui mène une fronde sourde contre le pouvoir de Massamba-Débat. Leur contestation atteint son paroxysme en juillet 1968. Le capitaine Ngouabi et le sous-lieutenant Eyabo sont arrêtés le 29. Les parachutistes se mutinent et les libèrent le 31. Le 2 août, ils libèrent d'autres prisonniers politiques, (Félix Mouzabakani et Pierre Kinganga). Massamba-Débat, affaibli, est contraint d'accepter une recomposition politique. Le 16 août, un Conseil National de la Révolution (CNR) est créé et investi de l'essentiel des pouvoirs. Il est dirigé par Ngouabi et Sassou N'Guesso en est un des trente neuf membres.

Le 25 octobre 1997, Sassou N'Guesso se proclame Président de la République et promulgue un Acte fondamental qui aménage une transition de durée flexible. Quelques jours plus tard il publie son gouvernement. On y retrouve essentiellement les personnalités qui faisaient partie de son équipe gouvernementale dans les années quatre-vingt.

A partir du milieu de l'année 1998, il doit faire face à une recrudescence de violence dans la région du Pool. Les miliciens ninjas de Kolelas font montre d'une recrudescence d'activités subversives, sous la conduite du pasteur Ntumi. Dès le mois d'août 1998, ils arrêtent le trafic ferroviaire dans le Pool. Le 18 décembre 1998, ils tentent d'investir Brazzaville. Les cobras les repoussent et exécutent également des centaines d'habitants des quartiers de Bacongo et Makelekele, soupçonnés de sympathie avec les rebelles. Les deux quartiers se vident pour plusieurs mois. Les habitants trouvent refuge dans les autres quartiers de la ville, dans les villages du Pool ou en RDC. Les cobras se livrent alors au pillage des maisons désertés.

En mai 1999, des centaines de réfugiés revenant de RDC sont enlevés par des agents de la force publique puis assassinés. C'est l'affaire des disparus du Beach de Brazzaville.

En 2000, Sassou N'Guesso fait juger par contumace les principaux dignitaires du régime de Lissouba pour des motifs divers (crimes économiques ou actes de torture). Lissouba, Yhombi-Opango, Kolelas, Moungounga-Kombo Ngila, Benoit Koukebene, etc, sont condamnés à des peines lourdes.

Au début des années 2000, l'industrie pétrolière congolaise retrouve un second souffle avec la mise en production de quelques gisements (Kombi-Likalala, Tchibeli, Mbondji). Par ailleurs, les contrats de partage de production, en vigueur depuis 1995 accordent à l'État une plus grande part dans la répartition de la rente pétrolière. Le gouvernement remet en état la voie ferrée Brazzaville – Pointe-Noire. La SNPC créée en 1999 sur les cendres d'Hydro Congo pour gérer les hydrocarbures, commercialise elle-même le brut de la république. La nouvelle poussée des cours du brut accroît les recettes budgétaires. Le traitement des ministres est porté à 4 millions de FCFA par mois et celui des parlementaires à 2 millions. La rémunération des magistrats aussi est significativement améliorée. Cependant, les grilles salariales en vigueur depuis le milieu des années soixante restent inchangées pour les agents publics



ALI Ben BONGO ONDIMBA(Président de la république du GABON)
Ali Ben Bongo Ondimba, né Alain-Bernard Bongo le 9 février 1959 à Brazzaville, est un homme politique gabonais, fils de l'ancien président Omar Bongo et ministre de la Défense de 1999 à 2009.

Candidat du Parti démocratique gabonais à l'élection présidentielle du 30 août 2009, il est élu président de la République gabonaise avec 41,73 % des voix, lors de l'unique tour
Alain-Bernard Bongo est le fils aîné du président Omar Bongo et de Joséphine Nkama (devenue par la suite Patience Dabany). Il prend le nom d'Ali Ben Bongo quand son père convertit la famille à l'islam en 1973. Il fait ses études en France, dans un collège protestant des Cévennes, ses études secondaires partiellement au collège Sainte-Croix de Neuilly-sur-Seine, puis droit à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.

Ali Bongo revient au Gabon et travaille dans le cabinet de son père entre 1987 et 1989. De 1989 à 1991, il est ministre des Affaires étrangères du gouvernement de Casimir Oyé Mba. Il doit démissionner à cause de son âge : la Constitution de 1991 impose d'avoir au moins 35 ans pour exercer des fonctions ministérielles et Ali Bongo a alors 32 ans. Il revient dans le cabinet de son père. Il crée, avec André Mba Obame, un groupe de proches (Alfred Mabika Mouyama, Germain Ngoyo Moussavou…) qui vise à rénover la vie politique gabonaise.

Ali Bongo se présente à la députation en 1990 dans le Haut-Ogooué et est élu. En 1996, il cherche à prendre le contrôle du Haut-Ogooué qui est le fief de son cousin, le ministre de la Défense, général et ancien chef d'État-major Idriss Ngari. Ali Ben Bongo s'affronte avec Ngari et patauge (méconnaissance de la langue locale, pas de résidence dans la région) mais il obtient le soutien de son père qui le fait élire
En février 1999, il est nommé ministre de la Défense en remplacement de Ngari au sein du gouvernement. Ali Bongo dépense beaucoup pour sa popularité au sein de l'armée et place ses alliés. Son beau-frère, le ministre de l'Économie Paul Toungui, le trouve trop dépensier et bloque un achat militaire. Ali Bongo est réélu député en 2001 et 2006.

Vice-président du du Parti démocratique gabonais, Ali Bongo est désigné candidat par le parti au pouvoir pour l'élection présidentielle prévue le 30 août 2009 et destinée à remplacer Omar Bongo mort en juin 2009. Dans une interview accordée à Voice of America, il explique se vouloir candidat au changement[4]. Le 3 septembre 2009, les résultats sont rendus publics : Ali Bongo Ondimba est officiellement élu président de la République avec 41,73 % des voix, face à André Mba Obame (25,88 %) et Pierre Mamboundou (25,22 %). Ces derniers contestent la légalité de la proclamation et la sincérité des résultats. Selon une rumeur, Ali Bongo serait un enfant du Biafra adopté par Bongo, ce que l'intéressé dément. Le candidat à la présidentielle Luc Bengono Nsi a déposé un recours pour annuler l'élection du 30 août pour cette raison.

Après la validation des résultats de l'élection, Ali Bongo est investi le 16 octobre 2009.


PAUL BIYA(Président de la République du CAMEROON)

Paul Biya, né le 13 février 1933 à Mvomeka'a, sous le nom de Paul Biya’a Bi Mvondo. Il est le second président de la République du Cameroun depuis le 6 novembre 1982. Mvomeka'a est un village proche de Sangmélima, dans la subdivision de Meyomessala, la division de Dja-et-Lobo (Province du Sud, Cameroun).

Lorsque naît Paul Barthélemy Biya'a Bi Mvondo, le sud du pays est sous contrôle français (le Cameroun est un "territoire sous mandat de la Société des nations"). Paul Biya est "bulu" (ethnie rattachée au groupe "béti" du centre du Cameroun). Après ses études secondaires au lycée général Leclerc à Yaoundé, il passe successivement par le Lycée Louis-le-Grand, l'Université de la Sorbonne de Paris, l'Institut d'études politiques de Paris, où il obtient un diplôme de Licence en Droit public en 1961, et à l'Institut des hautes études d'outre-mer. Fils d’un catéchiste, ancien séminariste, destiné à la prêtrise, il ne manque pas d’ambition politique.

Dès 1962, il devient chargé de mission à la Présidence de la République dans le gouvernement du président Ahmadou Ahidjo. En 1968, il est nommé ministre secrétaire général à la Présidence, puis, en 1975, Premier ministre d'Ahidjo. Il devient président de la République le 6 novembre 1982 après l'annonce radiodiffusée par le président Ahidjo de sa démission le 4 novembre.

Le 6 avril 1984, une tentative de coup d'État, fomentée selon certains par Ahmadou Ahidjo réfugié en France, vise à assassiner Paul Biya. Les combats opposent l'armée restée fidèle à la garde présidentielle composée d'hommes du Nord, pendant près d'une semaine. Les mutins de la garde présidentielles sont exécutés. À la suite de ces événements, Paul Biya change d'orientation politique alors qu'il est encore entouré des anciens caciques de l'ex-président, souvent originaires du Nord du pays.

En mars et avril 1991, les opérations de désobéissance civile « Villes mortes », les émeutes et le vent de l'est qui soufflent sur toute l'Afrique le contraignent à accepter des élections libres.

En 1992, lors des premières élections multipartites, il aurait perdu l’élection présidentielle face à John Fru Ndi, mais se serait maintenu au pouvoir grâce à des fraudes massives selon de nombreux observateurs[réf. nécessaire]. Il s'ensuit un boycott de l'élection présidentielle de 1997 par nombre de partis de l'opposition. Après ce boycott, il est réélu, après révision de la constitution, pour un mandat de 7 ans renouvelable une fois.



Teodoro Obiang Nguema Mbasogo(Président de la GUINEE EQUATORIALE)

Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, né le 5 juin 1942, est l'actuel président de la République de Guinée-Équatoriale depuis 1979.

Né à Acoacán dans le district de Mongomo, il est le troisième enfant d'une fratrie de dix. Il débute ses études à 8 ans à l'école officielle de Mongomo puis au groupe scolaire Cardinal de Cisneros à Ebebiyin.

En 1963, il intègre les cadets de la garde territoriale puis, la même année, l'Académie générale militaire de Saragosse (Espagne). Il se spécialisera dans la conduite de véhicules militaires.

Il débute sa carrière militaire en 1965 dans la garde territoriale de Guinée-Équatoriale à Mikomeseng.

En 1969, son oncle, Francisco Macías Nguema, est élu président de la République. Celui-ci lui offre le poste de commandant de l'armée et des régions militaires de la capitale. L'année suivante, toujours par son oncle, il est promu au ministère de la Défense en tant que directeur général de l'approvisionnement et de la planification.

En 1975, il prend la tête des forces armées puis est nommé vice-ministre des Forces armées populaires en 1979. La même année, il renverse son oncle, prend le pouvoir comme président du Conseil militaire suprême avant d'être nommé président de la République en 1982.

Le 22 août 1982, la proclamation des résultats du référendum sur une nouvelle Constitution annonce une majorité de 95,38 % de oui. Il sera élu président de la République en 1989 (99,96 % des voix) et réélu en 1996 (99 %), en 2002 (97,1 %) et 2009 (96,7 %).

Selon Reporters sans frontières, il fait partie des « prédateurs » de la liberté de la presse, au côté de Fidel Castro et Than Shwe.

Il entretient des rapports tendus envers l'ancienne puissance coloniale qui l'empêche d'exécuter les opposants qui y trouvent refuge.

Ces dernières années, le président Obiang semble être tombé entièrement sous l'influence de son épouse qui n'a de cesse de vouloir faire accéder son premier fils Teodorín (Teodoro Nguema Obiang Mangue, fils du président) à la présidence équato-guinéenne. Celui-ci, ancien diplomate aux États-Unis, y a été arrêté en février 2001 pour détention illicite et introduction illégale de drogue aux États-Unis et n'a dû son salut qu'à son immunité diplomatique (l'affaire est étouffée). Il rentre alors au pays pour devenir ministre du pétrole.




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