Cest quoi l'ultime réalité que je tente de presenter ici dans ce log que j'éssais de gerer difficilement. Premierement cette idée que je porte inlassablement dans mon ésprit remonte déjà à trés logtemps. Quand je dis çà, c'est que je veux dire bien entendu à l'époque où j'étais encore etudiant au Beaux arts d'Alger. Ah! cette sacrée periode qui nous a épargné comme par miracle. Survivre etait spectaculaire, d'une beauté indiscriptible, le bonheur nous submerge chaque soir car nous sommes encore vivant. N'est - ce pas là qu'on compose les plus belles chansons et les plus beaux poemes jamais ecrits par aucune des plumes en plein dévotion à ce qu'elle a ete destinée. Je presume que, d'abord comme un survivant des temps des plus singlants où j'ai vu une âme algerienne en proie à la férocité du destin, quela vie que je dois defondre est celle qui presente un risque maximal de se déssoudre dans l'absurde pensée de la domination. |
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